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Changeons notre regard sur le handicap !

Saviez-vous que 82 % des handicaps sont invisibles ? En effet, le handicap fait souvent l’objet de nombreux préjugés, comme par exemple, le fait qu’un handicap cela se voit, les personnes handicapées le sont de naissance, certains postes sont inaccessibles aux personnes en situation de handicap.

Pourtant ce n’est pas forcément le cas.

Une personne souffrant d’une insuffisance cardiaque, d’une allergie ou ayant des problèmes de dos peut être considérée comme une personne en situation de handicap.

L’objectif est donc de gommer ces préjugés, c’est pourquoi cette année nous participons au Programme National de Sensibilisation à l’Intégration des Personnes en situation de Handicap, avec pour objectif d’accompagner des collaborateurs qui le souhaitent dans la reconnaissance du handicap.

 

Qu’est-ce que la reconnaissance du handicap et qui peut être considérée comme Travailleur Handicapé ?

 

 

Selon la loi du 11 février 2005, est dit Travailleur Handicapé « Toute limitation empêchant le salarié d’être à 100 % dans ses fonctions ». Ainsi, le handicap peut concerner chacun de nous ! Il y a beaucoup plus de personnes en situation de handicap qu’on ne le croit…

La reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) est d’abord l’attribution d’un statut administratif permettant l’accès à des dispositifs favorisant une meilleure insertion professionnelle et la mobilisation d’aides. Le but étant de faciliter votre quotidien au travail et prévoir des besoins éventuels d’aménagements.

Cependant pour être reconnu en tant que travailleur handicapé, il y a certaines démarches à suivre :

1) Prendre contact avec le service d’accueil de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH)

2) Remplir le formulaire téléchargeable sur le site internet et l’adresser à sa MDPH

Notre service RH vous accompagne et vous guide dans toutes ses démarches.

 

Pourquoi participer au PNSIPH (Programme National de Sensibilisation à l’Intégration des Personnes en situation de Handicap) ?

L’idée du programme c’est d’avoir une meilleure perception des différentes formes de handicap et de balayer certaines idées reçues.

Une personne handicapée n’est pas seulement un aveugle, un sourd ou encore un paraplégique. Le handicap touche 1 salarié sur 2 au cours de sa vie professionnelle.

Nos différences sont une source de complémentarité dans notre entreprise. Tout le monde à son rôle à jouer !

Pour sensibiliser nos collaborateurs au PNSIPH, qu’ils soient sur site, au siège ou dans les agences, plusieurs outils de communication seront utilisés au cours du 1er semestre 2020 : campagnes d’affichages, films de sensibilisation, bulletin d’infos…

Saumon avec riz et citron dans une assiette.

Manger du poisson : pourquoi ? comment ?

Photo d'un plat composé de saumon
Le saumon : riche en oméga 3

Le poisson est une source privilégiée en oméga-3 dont certains sont indispensables au développement et fonctionnement du système nerveux et contribuent à la prévention des maladies cardio-vasculaires. Parmi les poissons gras, certains contiennent davantage d’oméga-3 dits « à longue chaîne » (EPA, acide eicosapentaénoïque et DHA, acide docosahexaénoique) et sont donc particulièrement intéressants sur le plan nutritionnel car ils contribuent à la prévention des maladies cardio-vasculaires et sont nécessaires en particulier au développement et au fonctionnement de la rétine, du cerveau et du système nerveux. Ces poissons riches en Oméga 3  longue chaîne sont : saumon, sardines, maquereau, hareng et truite fumée.

Le poisson est également source de protéines, de minéraux comme le phosphore, et d’oligoéléments, comme l’iode, le zinc, le cuivre, le sélénium et le fluor, mais aussi des vitamines A, D, E indispensables à la santé.

Les poissons peuvent être contaminés par des polluants présents dans l’environnement dont les dioxines, les PCB ou le méthyl-mercure, qui peuvent avoir des effets néfastes sur la santé en cas de surexposition. Les PCB et les dioxines se retrouvent préférentiellement dans les poissons les plus gras (anguilles) ainsi que dans certains poissons bio-accumulateurs (barbeau, brème, carpe, silure), et le méthyl-mercure dans les poissons prédateurs sauvages.

 

Recommandations pour la population générale :

  • Consommer du poisson deux fois par semaine en associant un poisson gras à forte teneur en oméga-3 (saumon, sardine, maquereau, hareng, truite fumée) et un poisson maigre.
  • Varier les espèces et les lieux d’approvisionnement.
  • Ne consommer l’anguille qu’à titre exceptionnel.
  • Pour la pêche de loisir, respecter les recommandations de non-consommation émises dans certaines zones.

Au cours de la grossesse et jusqu’à 3 ans, le cerveau de l’enfant est particulièrement vulnérable à l’action toxique des contaminants chimiques et notamment du méthyl-mercure et des PCB. Des recommandations spécifiques destinées aux femmes enceintes ou allaitantes, ainsi qu’aux enfants de moins de 3 ans viennent préciser les recommandations générales.

 

Pour les femmes enceintes, allaitantes et les enfants de moins de 3 ans :

  • A limiter : poissons prédateurs sauvages : thon, lotte (baudroie), loup (bar), bonite, empereur, grenadier, flétan, brochet, dorade, raie, sabre, …
  • A éviter : espadon, marlin, siki, requin et lamproie

Recommandations de l’Agence pour la consommation de poissons – ANSES – 27/02/2019

 

Vitalrest assure une veille nutritionnelle active afin d’adapter ses menus au plus près des recommandations :

  • 2 à 3 services de poisson par semaine
  • Poisson gras introduit notamment dans les entrées (salade de pommes de terre aux harengs, sardines à l’huile, rillettes de maquereau) ou en frais selon les arrivages.
  • Raie non servie en crèche (enfant de moins de 3 ans)

Vitalrest sélectionne ses produits de la mer et en interdits l’utilisation de certains (non référencés) et regroupe toutes les espèces concernées par un élevage de masse ainsi que les espèces en voie de disparition et les produits issus de la production industrielle :

  • Le Perche du Nil
  • Le Tilapia
  • Le thon rouge
  • Le Panga
  • Les coquilles de mer surgelées (trop pauvre en garniture de fruits de mer et poissons)
  • Les poissons panés assemblés de chair de poisson et poissons reconstitués
  • Les terrines de la mer industrielle (trop d’arômes artificiels et de conservateurs)
Un chef prépare des plats dans une cuisine commerciale.

Qualité et circuits courts imposés

Rencontre avec le Directeur de l’Association ANRAIC de Chalon sur Soane (71), en charge de la restauration du midi à l’Hôtel des Impôts. Un chef et ses deux aides ont carte blanche pour régaler et séduire leurs convives cinq jours sur sept.

« Entre quatre-vingts et quatre-vingt-dix personnes choisissent notre self-service pour leur pause déjeuner. La majorité concerne des collaborateurs du centre des impôts, mais nous avons passé également des conventions avec d’autres établissements – La Poste par exemple – ce qui permet de rentabiliser le restaurant.

Les salariés de Saveurs Restauration détachés dans nos cuisines assurent la commande des produits, la préparation des repas et le service au self. « Nous sommes particulièrement contents de cette solution et nos interlocuteurs commerciaux de Saveurs Restauration sont eux aussi toujours à notre écoute. C’est très agréable.

« Lors des commissions menus (une par trimestre), nous analysons la situation et le chef est force de proposition, il nous présente des nouveautés et suggère des repas thématiques (un par mois)…

Nous n‘avons pas les contraintes des établissements de santé, ce qui fait que les menus sont variés, de qualité, préparés avec des produits de proximité afin de privilégier les circuits courts. »

Un presse-papiers avec un stéthoscope et des légumes dessus.

En 2019, priorité à l’alimentation, la nutrition et à l’activité physique

Le Comité interministériel pour la santé (CIS), met  un  accent  prioritaire  sur  l’activité  physique,  l’alimentation  et  la  lutte  contre  l’obésité. Les objectifs fixés d’ici 2023 sont : diminution de 15 % de l’obésité chez les adultes, diminution de 20%  du  surpoids et de l’obésité chez les enfants et les adolescents ; réduction de la dénutrition des  personnes  âgées  dénutries  vivant  à  domicile  ou  en  institution  (15 % pour les plus de 60 ans et 30 %  pour les plus de 80 ans) ; réduction de 20 % de la dénutrition des malades hospitalisés à la sortie d’hospitalisation.

 

La santé par l’alimentation

  • Permettre à tous les Français de connaître les bons réflexes alimentaires pour leur santé
  • Améliorer la qualité nutritionnelle de tous les aliments transformés et promouvoir le Nutri-score
  • Réduire la consommation de sel de 30 %
  • Protéger les enfants et les adolescents d’une exposition à la publicité pour des aliments et boissons non recommandés
  • Permettre à tous de bénéficier d’une restauration collective de qualité en toute transparence
  • Organiser dès 2020 la journée nationale « Les Coulisses de l’alimentation » sur le modèle des Journées du Patrimoine
  • Étendre l’éducation à l’alimentation de la maternelle au lycée
  • Veiller à l’alimentation de nos aînés : prévenir la dénutrition
  • Promouvoir et partager au niveau national les actions locales innovantes
  • Étendre l’obligation de don des invendus alimentaires à la restauration collective et aux industriels et favoriser les dons.
  • S’assurer de la qualité et de la fiabilité des applications numériques orientant le consommateur dans ses choix alimentaires.

 

La santé par l’activité physique et sportive

  • Promouvoir les activités physiques et sportives auprès des enfants, des jeunes et des étudiants dans tous les temps éducatifs
  • Développer la pratique d’activités physiques et sportives en milieu professionnel
  • Promouvoir l’offre de pratique d’activité physique et sportive pour les seniors
  • Développer la pratique d’activité physique adaptée pour les personnes atteintes de maladies chroniques
  • Renforcer la prescription d’activité physique adaptée par les médecins
  • Labelliser les maisons sport-santé

 

 Prévenir et prendre en charge l’obésité

  • Détecter précocement les personnes obèses ou à risque d’obésité
  • Orienter les personnes obèses ou à risque d’obésité vers les équipes compétentes
  • Améliorer la lisibilité de l’offre sur les territoires et, plus globalement, l’information des personnes obèses
  • Conditionner, dès 2020, l’activité de chirurgie de l’obésité à une autorisation selon des critères de qualité
  • Renforcer les centres spécialisés de l’obésité (CSO) dans leur rôle d’animation et de coordination de la filière de soins ainsi que d’appui des professionnels
  • Adapter et soutenir la filière obésité dans les Outre-mer
  • Déployer, d’ici 2022, des expérimentations innovantes en direction de publics ciblés : les enfants de 3 à 8 ans à risque d’obésité (« Mission Retrouve ton cap »), les enfants et adolescents atteints d’obésité sévère (« OBEPEDIA »)…

 

Autres mesures

  • Protéger les mineurs de la vente d’alcool et de tabac
  • Renforcer le parcours de santé pour les enfants et adolescents protégés
  • Faciliter l’accès pour tous aux Tests Rapides d’Orientation Diagnostique (TROD) pour l’angine
  • Permettre des prescriptions de prévention en médecine scolaire
  • Faciliter l’accès aux dépistages organisés des cancers pour les personnes en situation de handicap hébergées en établissement
  • Instaurer un « rendez-vous prévention » au moment du passage à la retraite
  • Le numérique au service de la prévention

Vitalrest s’investit déjà depuis plusieurs années dans la lutte contre la dénutrition des personnes âgées et en situation de handicap :

  • En préparant des repas adaptés garantissant la couverture des besoins nutritionnels.
  • En proposant des solutions d’enrichissements naturels des repas et des collations.
  • En accompagnant les établissements dans une démarche de prévention et prise en charge de la dénutrition.
  • En innovant dans la redistribution des apports alimentaires journaliers calqués sur l’appétit des résidents.

Vitalrest propose aux résidents de visiter les coulisses de la cuisine et du métier de cuisinier et ainsi réduire l’anxiété liée aux repas. Les cuisiniers sont dans la salle de restaurant et servent les résidents selon leur appétit, amenant du sens et de la convivialité aux repas et permettant de conserver l’autonomie.

Source : Comité interministériel pour la Santé – Dossier de Presse du 25 Mars 2019

Une pomme rouge avec les mots "stop au gaspillage alimentaire" dessus.

Non au gaspillage alimentaire ! Pour une meilleure santé de nos convives !

Chaque année, en France, le secteur de la restauration collective produit environ 500 000 tonnes* de biodéchets : denrées périmées, rebuts de préparation, reliefs de table… cela correspond aux pertes et gaspillages de préparation et de consommation sur place.

Il s’agit donc d’un enjeu, pour nous, nos enfants et la planète.
Faire du développement durable pour chacun d’entre nous, c’est offrir une prestation durable. Une alimentation durable contribue à protéger et à respecter la biodiversité et les écosystèmes ; est culturellement acceptable ; économiquement équitable, accessible et abordable; nutritionnellement sûre et saine ; et permet d’optimiser les ressources naturelles et humaines.

 

La lutte contre le gaspillage alimentaire et la gestion des biodéchets : des pratiques durables

Depuis plusieurs années, nous accompagnons nos clients dans une meilleure gestion des biodéchets, les informons sur la réglementation en vigueur, les modes de valorisation des biodéchets, ainsi que sur les techniques de gestion des bio-déchets sur site. Nous leur apportons également une méthodologie pour lutter contre le gaspillage alimentaire, adaptée à chaque établissement.

Depuis le 1er janvier 2016, la réglementation dans le cadre de la loi Grenelle, impose, notamment aux professionnels de la restauration collective, de mettre en place un tri et de s’inscrire dans un circuit de collecte agréé pour la valorisation des bio-déchets sur un volume de plus de 10 tonnes par an.

A l’horizon 2025, dans le cadre de la loi sur la transition énergétique, tout producteur** de biodéchets, aura l’obligation de trier et de s’inscrire dans un circuit de collecte agréé pour la valorisation.

Pour accompagner les établissements de santé dans la mise en conformité de la gestion des biodéchets, nous avons mis en place un projet pilote nommé « S’engager Responsable ». L’étude du gaspillage alimentaire entraînera in fine une meilleure qualité de service notamment, parfois, avec une meilleure répartition journalière des apports nutritionnels.

 

Le projet « S’engager responsable »  déployé sur 20 sites pilotes au 1er semestre 2019 !

C’est à force de constater sur le terrain les difficultés liées à la gestion des biodéchets par les établissements de santé, que le Groupe Vitalrest a décidé, en 2018, de lancer son projet « S’engager Responsable ». Déployé, de façon entièrement personnalisé,  sur 20 établissements au 1er semestre 2019, quel que soit le volume produit, nous les accompagnerons dans leur gestion de la valorisation des biodéchets : campagnes de pesées des déchets, suivi de leur évolution sur plusieurs mois au fur et à mesure des procédures mises en place…

 

Gestion des biodéchets dans les bacs de tri
Valorisation des biodéchets par le biais de campagnes de pesées des déchets

 

Cette campagne nous permettra de déterminer les quantités et la nature des aliments jetés et d’obtenir des informations qualitatives sur les pratiques des convives. La pesée permet une prise de conscience, et réalisée régulièrement, mesure l’impact des actions menées sur le gaspillage.

Cette lutte contre le gaspillage alimentaire, permettra après étude, de lutter contre la dénutrition, de réduire le coût carbone lié au gaspillage (de la production au traitement des biodéchets), et de réaliser une « éducation éco-citoyenne » de tous….

* source : GRENELLE II : L’obligation de tri et de valorisation des déchets alimentaires dans les établissements de restauration
** propriétaire des lieux