L'entrée d'un immeuble avec une pancarte indiquant les harper.

Jusqu’en 2017, les Lauriers prenaient en charge la réalisation des repas dans un esprit plutôt familial, malgré les 150 à 200 plateaux à préparer trois fois par jour, sept jours sur sept ! Problème, cette année là, les deux chefs tombent en même temps en arrêt maladie. C’est alors « Cauchemar en cuisine ! ».

 « Par chance, j’avais conservé la carte de visite du responsable commercial AGS. Il m’a très rapidement détaché un chef qui a pu immédiatement prendre le relais. » explique Annick Stratsmains la Directrice de Foyer de Vie les Lauriers. Heureusement, car les repas sont un instant clé des résidents et la cuisine est un lieu important dans la vie du foyer.

« C’est aussi une question de personne. Hervé, notre chef du moment, est très impliqué dans la vie de notre établissement. Il a su se plier aux exigences et aux contraintes liées à la restauration des personnes en situation de handicap. » Les repas sont équilibrés (indispensable quand les convives sont très sédentaires) et réalisés avec des produits de proximité, ce qui est bénéfique pour l’environnement et l’économie locale.

Dans ce type d’établissement médico-social, la communication, la coordination et l’organisation sont bien plus importantes que n’importe où ailleurs. Aujourd’hui, des salariés AGS prennent le relais au fur et à mesure des départs. Une transition tout en douceur.