Une femme rassemble les pièces d’un puzzle.

Quelle alimentation pour les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ?

En France, c’est plus de 900 000 personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, et c’est 200 000 nouveaux cas chaque année. C’est une maladie neuro dégénérative, essentiellement liée à l’âge, caractérisée par une perte progressive de la mémoire et de certaines fonctions cognitives conduisant à des répercussions dans les activités quotidiennes.

Elle peut entraîner des troubles neurologiques, à l’origine de troubles de la déglutition, de la reconnaissance, du langage ou encore de la désorientation et peuvent être associés à une déambulation importante qui favorisent les risques de dénutrition.

 

Les causes de dénutrition des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

Les besoins énergétiques sont augmentés en raison du stress lié à la maladie et de la déambulation.

Les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer voient leurs apports nutritionnels diminuer en raison des facteurs suivants :

   – Oubli de manger et perte des repères : elles ne pensent plus à manger, oublient à quoi servent les couverts, ce que sont les aliments, leurs goûts, et oublient leurs préférences et habitudes alimentaires.

   – Trouble du comportement : elles refusent de s’assoir pendant les repas, sont distraites, lentes et mélangent les aliments entre eux.

   – Risque de dépression : en raison du refus de la prise alimentaire et de leur possible anorexie.

   – Trouble de la mastication : état dentaire mauvais.

   – Difficultés à manger : absence de mastication, mauvais contrôle linguale, blocage alimentaire et fausses routes.

   – Modification du goût : due à la prise médicamenteuse.

 

Personne atteinte de la maladie d'Alzheimer
Personne atteinte de la maladie d’Alzheimer

 

Alimentation et ALZHEIMER : la réponse Vitalrest

Les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer nécessitent donc une prise en charge nutritionnelle et alimentaire spécifique :

   – Adaptation de la texture pour répondre aux troubles de la déglutition plus ou moins importants.

   – Mise en valeur de la présentation des aliments pour être mangés avec les doigts sur un temps de repas moins long.

   – Augmentation des apports énergétiques et protidiques afin de couvrir les besoins nutritionnels majorés.

Il faut donc des préparations hypercaloriques, pouvant être mangées avec les doigts, en petits volumes et avec une texture adaptée.

 

Vitalrest répond à ces problématiques par des bouchées gourmandes :

   – Goûteuses : c’est le menu du jour cuisiné et mixé avec la sauce.

   – Hypercaloriques : ajout de crème, œuf, fromage … afin d’enrichir et favoriser une texture conforme.

   – Mixées : permettant de répondre aux différents niveaux de troubles de la déglutition sans risque.

   – Gélifiées : pour être prises plus facilement avec les doigts.

   – Attrayantes : couleurs (rouge, orange favorisant l’attrait alimentaire) et formes variées (financier, cannelé, cube, bâtonnet ….).

   – Réalisables : grâce à l’utilisation de moules en portions individuelles.

 

Manges-Mains
Manges-Mains

En savoir plus :

La dénutrition chez les personnes âgées, Groupe Vitalrest

Sources :

La journée mondiale de l’Alzheimer, Fondation Alzheimer

Dénutrition post-covid.

COVID : quelles conséquences sur l’état nutritionnel des plus de 65 ans ?

Bien conscient des problématiques de dénutrition, majorées suite au COVID, sur les personnes de plus de 65 ans, les équipes Vitalrest se mobilisent pour accompagner au mieux ses clients dans cette période post-déconfinement.

 

Quel lien entre la dénutrition et la COVID ?

Selon l’Agence Régionale de Santé d’Ile de France (ARS), les patients COVID ou ayant été atteints de la COVID sont à haut risque de dénutrition. La dénutrition est une vraie maladie qui fragilise l’organisme, le rendant moins capable de se défendre contre les maladies.

L’ARS vient d’éditer 5 fiches pour :

– comprendre ce que sont la COVID et la dénutrition (Fiche n°1)
– dépister la dénutrition, suivre le patient et lui fixer des objectifs de récupération (Fiche n°2)
– mettre en place un suivi médical en fonction du degré de la dénutrition (Fiche n°3)
– mieux s’alimenter et se faire suivre par un diététicien (Fiche n°4)
– pratiquer une activité physique quotidienne et adaptée (Fiche n°5)

 

Dénutrition post COVID : en parler pour aller mieux !

L’ARS précise aussi que les patients touchés (ou qui ont été touchés) par les formes graves de COVID sont (étaient) déjà à risque de dénutrition puisque ce sont des patients de plus de 65 ans pouvant présenter des maladies cardiaques, pulmonaires, rénales, un diabète, une obésité, un cancer, un déficit immunitaire… L’ARS insiste donc sur le fait que la dénutrition est une vraie maladie, malheureusement trop souvent « peu reconnue » et qu’elle aggrave les maladies chroniques existantes, elle augmente la durée d’hospitalisation et le risque de décès.

Pour les plus de 65 ans non atteints par la COVID, les risques de dénutrition sont aussi présents avec pour mécanisme une diminution des apports alimentaires :

  • Perte d’appétit : lié à l’isolement, la baisse de moral, à la moindre activité physique
  • Difficultés de s’approvisionner, faire les courses : avec carences en certains groupes alimentaires
  • Difficulté pour s’alimenter parfois : dentier cassé, manque d’aide humaine aux repas, dégradation de maladie déjà existante …

Expert du secteur médico-social et sanitaire depuis 19 ans, le Groupe VITALREST accompagne les Directions d’établissements dans une meilleure détection et prise en charge de la dénutrition chez leurs résidents. Pour cela, nous proposons :

  • Un suivi diététique des établissements accueillant du public âgé réalisé par la Diététicienne Vitalrest : état des lieux et mise en place de plans d’actions ciblées.
  • La rédaction de protocoles d’enrichissement adaptés à chaque établissement.
  • L’accompagnement dans le choix et la mise en œuvre de produits d’enrichissement.
  • La sensibilisation et la formation de ses équipes de cuisine dans l’objectif de prévenir la dénutrition : donner l’envie de manger par de plats goûteux, bien présentés et adaptés.
  • La redistribution de la journée alimentaire privilégiant les repas où l’appétit est davantage au rendez-vous. (Programme Équilibre).
Les logos du groupe repos vital et pnsp.

Changeons notre regard sur le handicap !

Saviez-vous que 82 % des handicaps sont invisibles ? En effet, le handicap fait souvent l’objet de nombreux préjugés, comme par exemple, le fait qu’un handicap cela se voit, les personnes handicapées le sont de naissance, certains postes sont inaccessibles aux personnes en situation de handicap.

Pourtant ce n’est pas forcément le cas.

Une personne souffrant d’une insuffisance cardiaque, d’une allergie ou ayant des problèmes de dos peut être considérée comme une personne en situation de handicap.

L’objectif est donc de gommer ces préjugés, c’est pourquoi cette année nous participons au Programme National de Sensibilisation à l’Intégration des Personnes en situation de Handicap, avec pour objectif d’accompagner des collaborateurs qui le souhaitent dans la reconnaissance du handicap.

 

Qu’est-ce que la reconnaissance du handicap et qui peut être considérée comme Travailleur Handicapé ?

 

 

Selon la loi du 11 février 2005, est dit Travailleur Handicapé « Toute limitation empêchant le salarié d’être à 100 % dans ses fonctions ». Ainsi, le handicap peut concerner chacun de nous ! Il y a beaucoup plus de personnes en situation de handicap qu’on ne le croit…

La reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) est d’abord l’attribution d’un statut administratif permettant l’accès à des dispositifs favorisant une meilleure insertion professionnelle et la mobilisation d’aides. Le but étant de faciliter votre quotidien au travail et prévoir des besoins éventuels d’aménagements.

Cependant pour être reconnu en tant que travailleur handicapé, il y a certaines démarches à suivre :

1) Prendre contact avec le service d’accueil de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH)

2) Remplir le formulaire téléchargeable sur le site internet et l’adresser à sa MDPH

Notre service RH vous accompagne et vous guide dans toutes ses démarches.

 

Pourquoi participer au PNSIPH (Programme National de Sensibilisation à l’Intégration des Personnes en situation de Handicap) ?

L’idée du programme c’est d’avoir une meilleure perception des différentes formes de handicap et de balayer certaines idées reçues.

Une personne handicapée n’est pas seulement un aveugle, un sourd ou encore un paraplégique. Le handicap touche 1 salarié sur 2 au cours de sa vie professionnelle.

Nos différences sont une source de complémentarité dans notre entreprise. Tout le monde à son rôle à jouer !

Pour sensibiliser nos collaborateurs au PNSIPH, qu’ils soient sur site, au siège ou dans les agences, plusieurs outils de communication seront utilisés au cours du 1er semestre 2020 : campagnes d’affichages, films de sensibilisation, bulletin d’infos…

Déshydratation des personnes âgées

Diabète et famille

On l’oublie souvent, mais la famille et les proches d’une personne touchée par le diabète subissent aussi, dans une moindre mesure, les conséquences de cette maladie chronique. Crises d’hypoglycémie, changements des habitudes alimentaires, reprise d’une activité physique… Leur soutien est précieux pour permettre au patient d’accepter sa maladie et d’adhérer à sa prise en charge.


Le rôle de la famille d’une personne diabétique :

Tout d’abord, il est primordial que la famille connaisse cette maladie notamment dans la notion de chronicité, mais aussi l’importance de ralentir son évolution et de ce fait les complications.

La famille a un rôle important notamment concernant le volet de l’alimentation. On entend dire que l’alimentation du diabétique devrait être celle de tous, tellement elle répond à l’équilibre et aux besoins du corps. Et c’est bien VRAI.

Une alimentation très limitée en sucres rapides : mais pour se faire plaisir et selon l’équilibre du diabète, un dessert moyennement sucré peut être permis en fin de repas, le dimanche par exemple. A la famille, qui cuisine, d’adapter la recette pour tous sans forcément utiliser des édulcorants, on divise la quantité de sucre dans la recette par deux, et le tour est joué ! Moins de sucres rapides, c’est aussi moins de risque de stockage et donc de prise de poids.

Alimentation riche en fibres : avec des légumes à chaque repas, et des légumes secs régulièrement (au moins 2 fois/s). Les fibres ralentissent la digestion et donc l’arrivée du sucre dans le sang. Ces légumes peuvent être des crudités, du potage, des légumes cuits. On peut aussi proposer un plat végétarien à base de légumes secs, féculents et légumes ; ou des plats mêlant légumes et féculents comme des pâtes aux légumes, un risotto aux asperges …. Les fibres permettent de manger moins et d’être rassasiées plus longtemps.

Un apport de féculent à chaque repas : permettant d’éviter les hypoglycémies mais aussi une consommation trop importante de pain (avec une charge glycémique plus importante que les féculents). Opter lors des courses pour des féculents complets ou semi-complets et faites le plein de légumes secs ! A appliquer pour toute la famille.

Tous les fruits et légumes sont autorisés : il faut juste adapter les quantités selon la teneur en sucres. Ainsi les fruits les plus sucrés tels que banane, raisins, cerises et figues peuvent être consommés mais en plus petite quantité. Donc pas questions de les supprimer !

La famille, en connaissant bien la maladie, pourra ainsi adapter les repas et les recettes, comprendre quand le diabétique dira NON (je n’en veux plus, ce n’est pas adapté pour moi),  accepter des heures de repas fixes, et encourager le diabétique à bouger.


Vitalrest : notre savoir-faire dans la connaissance de l’alimentation du diabétique

Vitalrest s’engage auprès des diabétiques et leurs familles par la mise à disposition d’un guide ayant pour objectif d’aider les personnes diabétiques, mais aussi leur entourage (aidants, soignants …) ; à adapter leur alimentation afin d’équilibrer au mieux leur glycémie et ainsi rester en bonne santé et gagner en qualité de vie.

Ce guide se veut ludique et clair, il s’articule autour de 5 points essentiels à retenir. Un exemple de panier de course et des recettes de base pouvant se décliner de multiples façons illustre les propos de la première partie.

En modifiant des petites choses, cela a un impact important sur l’évolution de la maladie.

Le logo de la restauration unapei et saunes.

Saveurs Restauration au Congrès de l’Unapei à Lyon du 23 au 25 mai 2019

Notre Direction implantée sur le Rhône-Alpes, SAVEURS RESTAURATION, participera du 23 au 25 mais 2019 au Centre des congrès de Lyon au salon organisé par l’Unapei.

Unapei est une organisation dans le secteur du médico-social engagée pour la cause du handicap. Du 23 au 25 mai 2019, ils organisent un salon sur le thème « Choisir sa voie et vivre sa vie : être accompagné pour mieux décider ».

Depuis toujours, le Mouvement Unapei agit pour que les personnes en situation de handicap puisse vivre avec et parmi les autres en décidant  les plus possibles de leur vie. En 60 ans de nombreuses avancées ont été obtenue et les accompagnements proposés ont constamment évolué. Mais il reste encore à faire pour chacune accède réellement au libre choix quelle que soit la nature et le degré de son handicap.

 

Salon Unapei pour la cause du handicap à Lyon du 23 au 25 mai 2019

 

Très actif sur le secteur depuis 2001, en tant que Restaurateur spécialisé dans le secteur du médico-social, nous nous devions d’être présents. Notre offre culinaire tient compte du degré d’handicap de chaque convive, et il est important que chacun puisse prendre plaisir à bien manger.

Nous serons heureux de vous accueillir sur le stand Q et de vous faire découvrir un échantillon de nos offres de restauration.

 

Saveurs Restauration, restaurateur spécialiste dans le secteur du médico-social

 

A bientôt !